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A proximité. Le Mergelland (Pays de la craie) en passe d’entrer au patrimoine mondial de l’Unesco

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mergelland Bemelerberg_Limburg.jpgLes communes néerlandaises du « Heuvelland » et la commune de Riemst qui représente celles qui composent le Mergelland se sont réunies et concertées pour monter un dossier de reconnaissance de la région au Patrimoine mondial de l’Humanité. De Mergelland (en  français pays de la craie) dont la Montagne Saint Pierre fait partie (Sud Limbourg), présente plusieurs intérêts indéniables dont le principal est certainement l’existence de grottes de tuffeau liées directement à l’Histoire de la région dont elles portent les stigmates.

Plusieurs communes du Limbourg comme Riemst, Tongres, Heers et les Fourons, souhaiteraient installer un géoparc. Un géoparc est une aire protégée, aux limites bien définies, possédant des attraits géologiques correspondant généralement à des géosites.

Il doit avoir une superficie assez étendue pour contribuer au développement économique local. Des actions de protection et de valorisation de sites d’intérêt géologiques y sont développées en lien avec les patrimoines naturels et culturels du territoire. Le réseau européen des géoparcs, créé en 2000, et le réseau mondial des géoparcs, créé en 2004 et qui comprend 100 territoires dans 29 pays, sont soutenus par l’UNESCO.

Les communes limbourgeoises veulent faire reconnaître le « pays de la marne », le « Mergelland » ou « Krijtland », comme géoparc. Partant d’une carrière de marne du côté de Riemst, la volonté est de trouver un soutien auprès d’une vingtaine de communes réparties sur trois pays (Pays-Bas, Belgique et Allemagne), pour créer ce géoparc et valoriser à la fois la surface et le sous-sol du « Krijtland » (pays de la craie).

Le processus est lancé

Il y a eu une première réunion à Eijsden-Margraten aux Pays-Bas, non loin de Visé, pour expliquer les procédures de l’UNESCO. « La volonté est de protéger l’environnement particulier de la région. Notre ADN, notre terroir, notre histoire, nous voulons les protéger, les chérir et les développer », indique le bourgmestre d’Eijsden, fier d’avoir enclenché le processus.

Une étude préliminaire de l’université de Maastricht a indiqué qu’il était impossible que l’UNESCO reconnaisse le « Krijtland » comme patrimoine mondial, comme le souhaite notamment la commune de Riemst, et qu’il était préférable de prôner la solution d’un géoparc mais cela va prendre sept ans.

Le bourgmestre de Riemst est en contact avec les autres communes limbourgeoises et des communes wallonnes. C’est ainsi que les communes de Visé, Bassenge et Plombières ont participé le 29 janvier dernier, à Cadier en Keer aux Pays-Bas, à un symposium consacré à ce projet de géoparc. Seize communes ont entamé un dialogue avec les communes du Heuvelland (le Pays des collines), Maastricht, Heerlen, Simpelveld, Voerendaal, Stein et Beekdaelen.

L'article complet dans votre journal La Meuse de ce lundi 10 février 2020


Environnement. Plastique dans les produits et emballages : Ikea veut du 100 % recyclé d’ici 2030

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coton tiges.jpgEn 2021, les plastiques à usage unique seront totalement bannis de notre vocabulaire. Directive européenne oblige, ils seront en effet interdits sur l’ensemble du territoire européen. Finis les cotons tiges, pailles et autres touillettes en plastique.

Cette interdiction s’applique bien évidemment à tout à chacun. Aux ménages donc, mais aussi aux entreprises, restaurants, commerces…

Certains, comme Ikea, ont d’ailleurs décidé de prendre de l’avance.

« Aujourd’hui, divers articles tels que pailles, couverts, tasses et assiettes ont été remplacés par des articles jetables provenant de sources 100 % renouvelables », annonce le géant suédois qui entend bien intensifier ses actions dans les années à venir. « D’ici 2030, l’entreprise a pour but de recourir uniquement à des plastiques recyclés ou de source renouvelable dans ses produits et emballages », précise-t-il dans un communiqué.

L’article complet à lire dans votre journal La Meuse de ce mercredi 12 février 2020

https://journal.sudinfo.be/journal.php?_ga=2.138559990.474588874.1581505595-1444590501.1450255007#Sudpresse/web,2020-02-12,BASSE-MEUSE|SU_QUOTIDIENS,2020-02-12,BASSE-MEUSE,1|14

Bassenge – Lutte contre les incivilités. Juprelle va prêter une caméra à Bassenge

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caméra mobile juprelle.jpgPour voir si c’est efficace contre les dépôts clandestins

La lutte contre les dépôts clandestins va s’intensifier sur Bassenge. Prochainement, une caméra en prêt va être testée à certains endroits sensibles afin de voir si c’est vraiment efficace ou si ça ne fait que déplacer le problème. 

La lutte contre les dépôts clandestins devrait prochainement passer à une vitesse supérieure sur Bassenge. Récemment, le sujet a d’ailleurs été abordé au conseil communal. Le conseiller socialiste, Christopher Sortino, a ainsi demandé à avoir un état des lieux de la situation, en vue de pouvoir mettre en place un plan d’action. Plan qui reprendrait plusieurs mesures dont l’achat de caméras de surveillance mobiles. Placées sur les sites sensibles, elles permettraient de prendre les inciviques sur le fait, de pouvoir plus facilement les verbaliser, mais aussi, on l’espère, d’avoir un effet dissuasif. Le socialiste a ainsi répertorié dix lieux problématiques où des caméras mobiles pourraient être placées régulièrement.

L’article complet à lire en suivant ce lien ou dans votre Meuse de ce lundi 9 mars 2020

https://journal.sudinfo.be/journal.php?_ga=2.264746887.985267946.1583751779-1444590501.1450255007#Sudpresse/web,2020-03-09,BASSE-MEUSE|SU_QUOTIDIENS,2020-03-09,BASSE-MEUSE,1|10

Glons – Inondations. Le canal sous-terrain de la dérivation du Geer bouché : des terrains privés inondés…

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dérivation glons mars 2020.3.jpgDe mémoire de glontois(e)s, c’est la première fois que la dérivation du Geer pose problème. A cause des fortes précipitations, elle est bouchée au niveau de la rue Van der Wielen là où elle s’engoufre dans le canal souterrain pour rejoindre le Geer au niveau du pont de la route provinciale. Des terrains privés sont inondés.(Photo bandeau. Photo ci-contre à gauche - vue du pont près de chez Hustin)

Selon un riverain interrogé – son jardin est en partie sous eau -, les services de la commune se sont rendus sur place hier matin pour essayer de dégager l’amoncellement de détritus divers qui encombrent l’entrée du canal. Mais en vain. La commune a donc fait appel aux services de la Région wallonne concernés (voies non navigables). Ils sont impatiemment attendus.

dérivation glons mars 2020.4.jpgPour ce qui est du Geer, même si son niveau est assez haut, à Glons il n'est pas sorti de son lit.

Le manque d’entretien de la dérivation est évoqué.

(Photo ci-contre : sur la gauche, la dérivation souterraine à l'entrée du village de Glons )

Inondations Glons. La rue Van der Wielen impraticable

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Nous l’écrivions ce matin, depuis hier, la dérivation du Geer est bouchée à hauteur de la rue Van der Wielen. Cette après-midi, en peu de temps, la route a été entièrement inondée avec des dégâts afférents aux propriétés privées. La rue de la dérivation est concernée également.

Des barrières Nadar ont été placées par le Service des travaux.

La route est impraticable. Selon les services de la Wallonie (Cours d'eau non navigables), dans les circonstances actuelles, l'accès au canal souterrain comme son débouchage sont impossible, dixit un ouvrier communal rencontré sur place. Autant le savoir et prendre les devants…

Roger Wauters

Communiqué d’Intradel : recyparcs fermés jusqu’à nouvel ordre

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recyparcs fermés intradel,communiqué intradelLes recyparcs sont fermés depuis ce mercredi matin jusqu’à nouvel ordre. (Source Intradel)

Petit Patrimoine Bassenge. Ali Aghroum a entrepris un remarquable travail de restauration de l’ancienne croix Colas de Wonck. Un second sauvetage en moins de trente ans…

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croix collas 0.jpgCes dernières semaines, Ali, -qu’on ne présente plus- s’est fixé un nouvel objectif : restaurer la très ancienne croix Colas située sur les hauteurs de Wonck. Et l’on peut assurément dire qu’il s’agit d’une réussite. Aujourd’hui, la croix est impeccablement restaurée et magnifiquement mise en valeur.

Un peu d’Histoire

Pour cet élément du Patrimoine bassengeois repris dans l’inventaire sous le n°27, un premier sauvetage avait été entrepris en 1991-1992 grâce à des subsides obtenus à la Région Wallonne. L’occasion au passage de saluer l’intervention précieuse de feu l’Echevin Jean-Pierre Detrez qui à cette époque s’est impliqué à fond dans  la préservation du Petit Patrimoine bassengeois et dans sa mise en valeur. L’échevin glontois a monté un nombre considérable de dossiers de restauration lesquels ont été introduits à la Région Wallonne et ont reçu son aval, son aide et ont été assortis de subventions. Une brochure intitulée « Petit Patrimoine Populaire de Bassenge » a été publiée.

Pour en revenir à l‘ancienne croix Colas, le travail de restauration avait été confié en 1992 au restaurateur et artisan spécialisé Henry Hardy d’Emael.

Malheureusement, faute d’intérêt et d’entretien, cet élément du Patrimoine se trouvait à nouveau dans un réel état de délabrement et de décrépitude.

L’intervention bien salutaire et bénévole d’Ali Aghroum sur cette très ancienne croix est donc la seconde en 30 ans seulement.

Aujourd’hui, grâce à cette magnifique restauration et cette belle mise en valeur qui la sert, l’élément patrimonial n°27 a retrouvé tout son lustre.

Une restauration menée de main de Maître et devant laquelle on ne peut qu’applaudir.

C’est d’ailleurs le cas sur Facebook où le travail d’Ali a reçu une véritable ovation.

Les deux restaurations en photos

Extrait de la brochure Petit Patrimoine Populaire de Bassenge (1992)

croix colas wonck.jpg

La croix en 2019. Avant restauration.

croix collas.jpg

croix collas 2.jpg

La croix après restauration

croix colas restaurée Ali.2 jpg.jpg

croix colas restaurée Ali.jpg

Roger Wauters

Une pluie de dépôts illégaux en Basse-Meuse...

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dépôt sauvage 26 octobre 2018 2glons.jpg(photo prétexte) Les communes réagissent afin de tenter de mettre un terme aux dépôts illégaux, mais c’est surtout le travail de volontaires qui permet de maintenir un certain niveau de propreté. Dans plusieurs coins de la Basse-Meuse, la situation est déplorable. Des caméras de surveillance ont même été détruites sur le territoire visétois.

À gauche de la route, plusieurs sacs-poubelles remplis d’immondices. De l’autre côté, des pneus de voiture et des déchets de bâtiment. Plus loin, un ancien frigo. Et un peu partout, des canettes. Nous sommes à Visé, plus précisément sur les hauteurs près de Wonck et de Bassenge. Là-bas, les dépôts illégaux sont légion. Et depuis plusieurs années !

Ce ne sont pas les seuls. En se rapprochant de la cimenterie CBR, on aperçoit de nouveaux dépôts. Globalement, aucune commune bassi-mosane n’est exempte d’incivilités. Le problème est général. Et il commence à prendre de l’ampleur.

« L’endroit dont vous parlez en premier lieu, c’est le gros point noir sur notre territoire », avoue Luc Ligot, le responsable des travaux à Visé. « Il s’agit d’un chemin isolé. La voirie est quasiment abandonnée. Mais elle demeure importante pour les fermiers ».

Les citoyens s’activent

Ali Aghroum, grand défenseur de la nature, a publié des clichés de dépôts illégaux sur Facebook. Ces derniers ont poussé plusieurs villageois à réagir. De fait, il s’agit encore et toujours du même endroit impacté ! Ainsi, ils ont contacté les communes concernées, à savoir Visé, mais aussi Bassenge qui est voisine.

« Nous avons enlevé les dépôts. Cette fois, un camion de cinq mètres cubes a été nécessaire », reprend Luc Ligot. « En effet, des dépôts comme ceux-ci, on en enlève de manière récurrente là-bas. Ainsi, des dizaines de camions repartent remplis chaque année au départ de ce chemin ».

En découvrant les lieux, nous avons constaté que la commune de Visé a bel et bien nettoyé le plus gros. « Mais il reste encore beaucoup de déchets », relate un villageois en exemplarisant ses propos. « Ici, il s’agit de dépôts antérieurs à ce ramassage. La commune a fait un bel effort. Mais il est nécessaire de trouver une solution pour endiguer le fléau».

L'article complet dans votre journal La Meuse de ce samedi 4 avril 2020


Glons. Les « Choucas des tours » présents en nombre

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chouca des tours ferme dupuis glons.jpgLes promenades pédestres dans un rayon restreint, comme les restrictions l’imposent en ce temps de crise, donnent parfois aussi l’occasion de s’arrêter un peu plus longuement sur ces petites choses à priori insignifiantes qui composent notre environnement.

A Glons, depuis quelques semaines, les « Choucas des tours » ont supplanté en nombre  les corneilles et autres avec lesquels la sociabilité règne. Rassemblés en colonie de centaines d’individus, les Choucas évoluent régulièrement dans les larges pâtures du fond de la Vallée. Ainsi, au lieu-dit « Grand pré » on ne compte plus les chouca des tours ferme dupuis glons prairie.jpgChoucas qui  se rassasient en cette zone où la nourriture est abondante. Mais on retrouve aussi dispersés çà et là dans le village des couples isolés ou de petits groupes dans des espaces verts plus réduits sur lesquels ils ont jeté leur dévolu après les avoir préalablement repérés du haut des hautes cheminées de bâtiments imposants comme l’église, la ferme Dupuis… (Photos)

Certes la présence de cet oiseau n’a rien d’exceptionnel en nos régions. Retenons toutefois que le choix des Choucas, qui est un oiseau omnivore, se porte sur des contrées où la biodiversité est préservée et la nourriture abondante.

Preuve s’il en est que dans la plaine du fond de la Vallée la qualité de l’environnement glontois a de quoi les satisfaire…

chouca des tours ferme dupuis glons prairie .jpgRoger Wauters

Pour tout savoir sur le Chouca des tours :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Choucas_des_tours

 

Environnement Vallée du Geer. Propreté : le confinement a ses avantages

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logo bassenge sudinfo page facebook.pngC’est un fait. En Vallée du Geer, depuis les mesures de confinement et l'augmentation des promenades pédestres, les canettes vides bordant les voiries se font très rares. Voilà qui mérite réflexion.

A la demande des communes. La 5G suspendue en plusieurs endroits

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logo bassenge sudinfo page facebook.pngProximus avait déployé sa 5G « light » dans 30 communes du pays. Plusieurs d’entre elles, situées en région wallonne, ont cependant demandé à l’opérateur de suspendre l’activation de la technologie sur leur territoire, ce qui a été exécuté. Dans le sud du pays, les zones de couverture sont donc aujourd’hui beaucoup moins nombreuses. Parmi les zones actuelles, on en retrouve notamment une à Frasnes-lez-Anvaing, à Mons, au nord-est de Charleroi, à Wavre, Eupen et Bastogne. Dans la province de Namur, toutes les zones ont disparu.

« Cette suspension temporaire nous permettra d’échanger de façon constructive avec la région wallonne et les communes qui nous l’ont demandé sur ce que peut apporter la 5G et partager des informations rassurantes concernant les aspects de la santé et environnementaux de cette nouvelle technologie », précise le porte-parole de Proximus, Haroun Fenaux.

L’article complet en suivant ce lien ou dans votre journal La Meuse papier de ce jour :

https://journal.sudinfo.be/journal.php?_ga=2.160366132.863420242.1587990008-1444590501.1450255007#Sudpresse/web,2020-04-29,BASSE-MEUSE|SU_QUOTIDIENS,2020-04-29,BASSE-MEUSE,1|16

Bassenge – Juprelle – Oupeye. Permis refusé pour les six éoliennes

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logo bassenge sudinfo.pngLe projet éolien de New Wind a du plomb dans les rotors. Déposée à l’automne dernier, la demande de permis vient de lui être refusée.

La société namuroise souhaitait implanter et exploiter six éoliennes de part et d’autre de l’E313. Plus précisément sur des terrains situés à Glons, Boirs, Slins et Houtain et compris entre la rue Provinciale à l’ouest, la Chavée Arecht et le Thier au Pequet à l’est, la rue de Houtain au sud et la ligne de chemin de fer au nord. D’une hauteur maximale de 150 mètres, les éoliennes auraient eu une puissance individuelle comprise entre 2,4 et 3,4 MW. Un projet qui vient donc d’être recalé.

On lui reproche plusieurs choses. Tout d’abord, des câbles auraient dû être posés sur la zone de dégagement de l’autoroute, ce que le SPW interdit formellement. Mais c’est surtout la proximité avec deux aéroports, ceux de Liège et de Maastricht, qui ont posé problème. Après étude du dossier, Skeyes (ex-Belgocontrol) a ainsi remis un avis négatif, craignant que les turbines n’aient un impact sur ses radars. La province néerlandaise du Limbourg en a fait de même pour son aéroport.

L’article complet à lire dans votre journal La Meuse de ce jeudi 14 mai 2020

https://journal.sudinfo.be/journal.php?_ga=2.173855136.2036175935.1589455201-927525259.1588866424#Sudpresse/web,2020-05-14,BASSE-MEUSE|SU_QUOTIDIENS,2020-05-14,BASSE-MEUSE,1|22

A proximité. Cet échevin veut interdire les robots-tondeuses la nuit pour les hérissons

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hérisson.jpgDalhem: interdire les robots-tondeuses la nuit pour les hérissons

Ayant été interpellé par plusieurs citoyens, l’échevin du bien-être animal de Dalhem, Léon Gijsens, a la ferme intention de faire passer au conseil communal une modification du règlement général de police. Le Dalhemois veut y intégrer l’obligation d’éteindre son robot-tondeuse durant la nuit afin de protéger les hérissons.

Avec le retour des beaux jours, les hérissons clôturent leur hibernation. Dès la nuit tombée, ils partent à la chasse pour se nourrir. Mais leur quête ne se déroule pas toujours comme prévu. En effet, ces dernières semaines, les centres Creaves wallons (les centres de revalidation des espèces animales vivant à l’état sauvage) constatent, avec un certain désarroi, un afflux important de ces petits mammifères qui souffrent de très vilaines blessures. Leurs agresseurs ? Les robots-tondeuses que certains laissent tourner durant toute la nuit ! Les propriétaires de ces machines ont en effet tendance à les laisser fonctionner 24 heures sur 24. Ce qui n’est donc pas sans danger pour la faune nocturne...

Le hic, c’est que ces petits insectivores sont particulièrement appréciés des jardiniers. De fait, ils jouent un rôle crucial dans la biodiversité et aident à préserver l'équilibre des espaces verts. « Les hérissons sont d’excellents chasseurs de limaces, de sauterelles, de criquets, d'escargots, de hannetons, de mille-pattes ou encore de charançons. Ils sont même capables de s'attaquer aux vipères. Avec eux, plus besoin de produits chimiques pour protéger son parterre ou même son potager », nous affirme-t-on du côté de Natagora, une association sans but lucratif qui se consacre à la protection de la nature notamment en Wallonie.

L’article complet en suivant ce lien :

https://www.lameuse.be/560595/article/2020-05-15/dalhem-interdire-les-robots-tondeuses-la-nuit-pour-les-herissons

Le pouls de Facebook - Bassenge. Fauchage tardif, prairies fleuries, biodiversité… : aux oubliettes ?

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Chronique de Roger Wauters

Il y a déjà pas mal d’années, la commune de Bassenge  avait pris la résolution d’adopter le principe du « Fauchage tardif » sur les bords des voiries, principalement. Pour pérenniser cette décision et bien marquer les esprits, des signaux triangulaires avaient été placés un peu partout dans la commune pour transmettre le message.

Plus près de nous, sous l’impulsion d’Ali Aghroum (on ne le présente plus…), d’autres résolutions en faveur de la biodiversité allaient être suivies d’effets. Ainsi, en Vallée du Geer, plusieurs zones dites « prairies fleuries » s’intégraient aux divers aménagements des espaces verts.

fauchage tardif.jpgOr, force est de constater que, désormais, ces actions en faveur de la nature sont révolues. Du fauchage tardif et des zones fleuries, il n’en est plus question depuis maintenant plusieurs années. Certes, on entretient les bords des routes mais en rasant tout (photos prises en ce mois de mai 2020 à Wonck).

Alors sur Facebook, quand les bonnes résolutions ne durent qu’un temps, ça fait jaser…

R.W.

fauchage tardif 4.jpg

fauchage tardif 3.jpg

A proximité. Des centaines d’oiseaux tués par une faucheuse à Oupeye

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Les amoureux des oiseaux sont consternés ! Ce mardi, les herbes hautes qui se trouvaient aux abords du Trilogiport, à Oupeye, ont été fauchées sur 6 m de large ! Avec elles, ce sont des dizaines de nids qui ont été détruits et un nombre incalculable d’oiseaux qui ont été tués.

Benoît Huc est passionné par la nature et la biodiversité. Auteur du livre « Accueillir les Oiseaux au Jardin », il est également actif au sein de la Ligue Royale Belge pour la protection des oiseaux. Dès qu’il en a l’occasion, il admire et prend en photos les volatiles. Ce qu’il a encore fait tout récemment au Trilogiport, à Oupeye. Vingt-cinq hectares de ce site sont en effet réservés au développement de la biodiversité. Une zone qui est fort fréquentée par les promeneurs et amoureux de la nature. D’autant qu’actuellement, les oiseaux sont en pleine nidification. Dans les herbes hautes, plusieurs espèces d’oiseaux ont fait leur nid.

Ce lundi, Benoît avait d’ailleurs admiré le manège des adultes. « Cette année, on observait un grand nombre d’oiseaux adultes qui, à un rythme effréné, chassaient les insectes pour nourrir leurs jeunes oisillons, explique-t-il dans une publication Facebook partagée plus de 900 fois. On pouvait deviner ceux-ci ‘planqués’ dans leur nid au sein d’une végétation dont la densité était idéale. » Mais mardi, en retournant sur place, Benoît a eu le cœur retourné. Il est en effet tombé sur une faucheuse occupée à couper les hautes herbes sur tous les abords.

L’article complet à lire en suivant ce lien (Avec explications de la SPW Mobilité et Infrastructures ) :

https://www.lameuse.be/568566/article/2020-05-27/des-centaines-doiseaux-tues-par-une-faucheuse-oupeye


Fauchage des bords de routes : deux articles publiés simultanément sur ce blog créent une certaine confusion. Explications

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fauchage tardif.jpgChronique de Roger Wauters

Deux articles publiés à quelques heures d’intervalle sur ce blog avaient pour sujet des fauchages de bords de routes qualifiés sur facebook d’inconsidérés. Ils ont créé une certaine confusion.

Car, il faut différencier les travaux de fauchage entrepris à Hermalle au Trilogiport et ceux menés à Wonck par le service des travaux de la commune de Bassenge.

Pour ce qui est d’Hermalle, la zone du Trilogiport concernée est gérée par le SPW mobilité et transports.

Dans l’article publié dans La Meuse d’hier, on pouvait lire ceci (extrait):

« Si c’est le SPW Mobilité et Infrastructures qui gère le site, ce dernier nous a renvoyé vers Nicolas Delhaye, du Département Nature et Forêt de Liège, pour avoir une réponse plus technique à cette problématique », écrit la journaliste Aurélie Drion.

Et Nicolas Delhaye de la DNF d’expliquer« Il faut savoir qu’il n’y a pas de législation en Wallonie en ce qui concerne le fauchage tardif, sauf dans certains cas : les sites Natura 2000 ou lorsque c’est une obligation liée à un permis. Ce qui est le cas ici, dans cette zone du Trilogiport. Dans le permis, il est stipulé que les bords des routes, sur une largeur de 6m, doivent être fauchés 3 fois l’an. Le reste du site doit l’être une fois par an, après la mi-juillet. Le fauchage de cette semaine était le premier de cette année et respectait donc le cahier des charges. Maintenant, on se rend malheureusement bien compte qu’il y a eu un problème. Il n’y a pas de dates imposées pour réaliser les trois fauchages, l’entreprise vient quand elle veut. Et si nous avions été au courant que le fauchage allait se faire, nous serions intervenus pour l’éviter. Mais la situation de cette semaine fait qu’il va y avoir une concertation entre les services du SPW afin d’améliorer l’ensemble et réévaluer le cahier des charges. Probablement en réduisant la bande de 6 mètres et par exemple en stipulant que le premier fauchage doit avoir lieu début avril ou mi-juin. » Et ainsi, ce sont des centaines d’oiseaux qui ne finiront plus déchiquetés par une faucheuse. » (Source La Meuse 28 mai 2020)

Concernant le fauchage constaté à Wonck, l’entretien des bords de voiries incombe au Service des travaux de la commune de Bassenge.

Ce Service, qui est composé d’ouvriers sous la direction du Chef des travaux, est sous la responsabilité de l’échevin des travaux.

Cependant, pour bien planter le décor, il faut savoir qu’à Bassenge les travaux et l’environnement relèvent de deux échevinats distincts. Bassenge compte un échevin des travaux et un échevin de l’environnement.

Il est clair que dans le cas qui nous préoccupe, à savoir l’entretien des bords de routes (travaux et respect de l’environnement), une concertation entre les deux échevins s'avère obligatoire.

Outre ce fait, la commune a adhéré au plan « Fauchage tardif » initié par le SPW Environnement, il y a de cela bon nombre d’années déjà et elle s’est engagée à le respecter.

La question qui se pose donc est celle de savoir quelles ont été, en début de nouvelle législature,  les concertations menées entre les deux échevins pour définir un plan d’actions commun, coulé dans un cahier des charges mis à jour et ayant reçu l’aval du Collège.

C’est certainement cette question qui a été abordée hier au Conseil communal et à laquelle une réponse a dû être donnée.

Nous y reviendrons…

En route pour 4.000 km. Désormais vous recevez 4 euros pour planter 1 mètre de haie vive !

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L’annonce avait fait sourire lors de l’installation du gouvernement wallon en septembre dernier : 4.000 kilomètres de haies ou un million d’arbres seront plantés sur le territoire en 5 ans. Et pourtant, l’objectif qui se cache derrière n’a, lui, rien d’anecdotique, puisqu’il vise à « sauver notre biodiversité », soulignait alors la ministre de l’Environnement, Céline Tellier.

Une première étape vient d’être franchie par le gouvernement wallon. Ce vendredi, Céline Tellier a annoncé que le budget annuel destiné aux plantations passera de 350.000 euros à 1 million d’euros pour la saison prochaine, qui s’étale de novembre 2020 à mars 2021. D’ici 2024, ce budget devrait être doublé pour atteindre les 2 millions d’euros.

Une bonne nouvelle pour les haies… mais aussi pour le portefeuille des citoyens ! Car, oui, citoyens et agriculteurs wallons peuvent demander une subvention pour la plantation d’une haie vive, d’un verger ou encore pour l’entretien des arbres têtards. Et l’augmentation du budget annoncée va permettre, non seulement de financer davantage de demandes, mais aussi d’augmenter le montant des subventions accordées.

La suite de l’article dans votre journal La Meuse de ce samedi 30 mai 2020

Notons toutefois qu’un site internet est en cours de création.

Chacun y trouvera ainsi tous les renseignements nécessaires.

A suivre, donc.

Sécheresse: le mois de juin sera décisif pour les récoltes

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logo bassenge sudinfo.pngIl est encore trop tôt pour dire si les productions seront normales dans les prochaines semaines.

«Si la pluviosité du mois de juin est semblable à celle que l’on a habituellement, à savoir 71 mm, ce ne sera pas une trop grosse catastrophe pour les cultures», déclare vendredi Etienne Ernoux, agriculteur et président de la commission productions végétales de la Fédération wallonne de l’Agriculture (FWA). «Le mois de juin permettra de dire si ça va passer ou casser», ajoute-t-il alors que la pluviosité des mois d’avril et mai était extrêmement basse, mettant à mal les différentes cultures. (Source La Meuse)

Alors que faire ?

Voici d’autres alternatives. Parmi celles-ci, la plantation d’arbres dans les cultures…

Le JT de la RTBF (en vidéo)

Bassenge – Déchets. Les conteneurs à puce arrivent en 2021. Les modalités seront connues au plus tard au mois d’octobre

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conteneur à puce poubelle à puce.jpgDès le 1er janvier 2021, la commune va passer aux conteneurs à puce pour la collecte des déchets ménagers. L’impact financier de ce changement auprès des habitants devrait être minime.

Ce jeudi soir, le conseil communal s’est réuni pour la première fois depuis le début de la crise du coronavirus. Une séance plutôt chargée durant laquelle on a appris une décision importante pour la population : le 1er janvier 2021, les déchets ménagers seront collectés dans des conteneurs à puces. Fini donc les sacs payants utilisés depuis tellement d’années. Ce changement ne surprend guère puisque l’ensemble des communes wallonnes ont l’obligation d’être passées à ce système au plus tard en 2023. Fin de cette année, deux conteneurs seront donc distribués dans chaque habitation : un vert pour les déchets organiques et un gris pour les déchets tout-venant. La taille de ces conteneurs différera suivant le ménage. Le passage aux poubelles à puce permettra ainsi à chaque famille d’avoir une vision réelle de la quantité des déchets qu’elle produit chaque année. La taxe sera composée de deux volets : la partie fixe et la partie variable. La partie fixe comprend un certain nombre de levées gratuites des conteneurs ainsi qu’un nombre de kilos gratuits de déchets. Et s’il dépasse ce quota, le ménage doit payer des levées et des kilos supplémentaires, c’est la partie variable. En résumé, moins on produit de déchets et donc mieux on trie, moins on paye.

Michaël Sente pour le PS a insisté pour que la population soit rapidement informée de ces changements « Pour éviter que des personnes ne se retrouvent, fin d’année, avec un stock de sacs payants. » La majorité s’est engagée à communiquer le plus rapidement possible là-dessus.

L’article complet à lire dans votre journal La Meuse de ce mardi 2 juin 2020

Le pouls de Facebook - Bassenge. Le bruit des avions indispose les habitants. Un changement par rapport à avant ?

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logo bassenge sudinfo.pngSur Facebook, le groupe «  Le Geer dans la Vallée du Geer » a vu dernièrement défiler une flopée de commentaires sur le survol des avions : plus fréquents, plus bruyants, plus bas…

En est ressorti le constat unanime d’une augmentation des nuisances sonores en notre région sans trouver aucune explication rationnelle. Alors à quoi faut-il attribuer ce changement ?

Un début de réponse sur le site de la SOWAER

En effet, si obtenir une réponse demande à contacter les élus politiques, il n’est toutefois pas inintéressant de se rendre sur le site du Gestionnaire de l’aéroport.

Sur ce site, deux plans sont publiés : celui d’exposition au bruit et celui du développement à long terme.

https://www.sowaer.be/environnement/

Voici le Plan d’Exposition au bruit (PEB)

Il tient compte du trafic aérien estimé à moyen terme et fixe les mesures en faveur des riverains. Il est révisé tous les 3 ans.

plan bruits avions 1.jpg

Et voici le Plan de Développement à Long Terme (PDLT)

Il fixe les limites maximales de développement de l’aéroport concerné et permet d’introduire des dispositions préventives dans la réglementation wallonne en matière d’aménagement du territoire.

Un règlement d’urbanisme portant sur la qualité acoustique des constructions dans les zones B-C-D du PDLT a été adopté par mesure de prévention. Il impose pour toute nouvelle construction ou extension d’habitation dans ces zones de présenter des caractéristiques acoustiques suffisantes.

plan bruits d'avions long terme.jpg

La comparaison des deux plans est explicite. Comme on peut le constater, à sa pointe , la zone de survol des avions (D) s’est élargie et empiète largement sur la Vallée du Geer. Ce qui n'était pas le cas avant (voir premier plan). Nous avons pris contact avec le Conseiller communal Christopher Sortino (PS) afin d’obtenir quelques explications sur cette réalité.

A suivre, donc…

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